LE VENTRE DE PARIS (Emile Zola)



Quatrième de Couverture:
Entre Napoléon, Charles X, Louis XVIII, Louis-Philippe et Louis-Napoléon, la politique française post-révolution a connu une entrée dans le XIXe siècle violente, perturbée, agitée de complots et d’émeutes populaires. C’est dans ce contexte que Florent, beau-frère de Lisa Macquart s’est évadé du bagne de Cayenne. Déporté par erreur après le coup d’état du 2 décembre 1851, l’ancien instituteur s’installe chez son frère charcutier et devient inspecteur de la marée. Mais, très vite, la bourgeoisie des halles se sent menacée par l’intrusion d’un étranger si maigre dans ses vies bien rangées… Par le jeu des méfiances et jalousies, Zola développe alors le thème de la bataille des gras et des maigres, des riches et des pauvres.

Mon avis:
Le ventre de Paris est une de mes lectures scolaire, et heureusement, sinon je l'aurais abandonné. J'avais beau essayer de me prêter au jeu d’imaginer les description et les scènes, pour ne pas m'ennuyer, je n'y suis pas arrivé. Il y en a trop, alors qu'il ne se passe rien. C'est vraiment dommage car l'histoire en elle-même m'aurait vraiment plu: un échappé du bagne est tout à fait le genre de sujet que j'apprécie. 

Mais au lieu de ne nous raconter que son histoire passionnante, on nous parle de poissonnerie, de charcuterie, de rumeurs. Les seules fois où on nous raconte vraiment quelque chose d'intéressant (c'est vraiment rare), les description viennent casser l'action et on retombe dans l'ennuie. Par exemple, quand Florent raconte son évasion du bagne, on nous raconte la confection du boudin dans la charcuterie. 

J'ai vraiment été déçue par se roman de Zola, et je ne sais pas si j'aurais un jour le courage de lire un autre de ses livres.

1 commentaire:

  1. Je l'ai lu quand j'étais lycéenne dans ma période Zola mais j'ai préféré "Le Bonheur des Dames" que j'ai dévoré.

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